lundi 18 mars 2013
ENTREPRISES (1)
STRESS AU TRAVAIL
Les salariés seront moins stressés quand la mode de management aura tourné, c'est à dire quand les directeurs des ressources humaines et les patrons auront compris qu'il faut susciter des relations de confiance entre l'employeur et son employé, afin de libérer son potentiel de créativité, d'autonomie, d'autoévaluation, de remontée d'information cruciale sur l'avancée du travail, l'état du marché, la qualité des fournisseurs, les tendances des clients etc. Le respect du salarié par le patron permet du travail bien fait et provoque la satisfaction du salarié. Il est temps de sortir des relations de travail héritées du 19ème siècle. Sinon, les patrons récoltent la grève, l'absentéisme, les malfaçons cachées au contremaître, les retards de fabrication dont on prend connaissance au dernier moment, les tensions interpersonnelles dans l'entreprise etc. Alors, choisissons la bonne manière de gagner de l'argent, tout le monde y gagne : l'actionnaire, le manager, le salarié, le fisc, la nation.
ENTREPREUNARIAT
Le Président de la République a raison de vouloir réhabiliter et favoriser l’entreprenariat.
Un des moyens consiste à mettre en place un dispositif de faillite personnelle calqué sur celui qui existe aux US. Il consiste à limiter les pertes de l’entrepreneur à son actif au moment de la faillite, et à lui redonner une somme pour redémarrer dans la vie. En France, les dettes sont à vie dans le passif : L’entrepreneur failli qui regagne de l’argent doit rembourser ses dettes passées. Le mécanisme de limitation des dettes à l’actif de l’entreprise SARL/EURL est bien souvent un leurre, car les banques s’empressent de demander une caution personnelle aux actionnaires, voire aux dirigeants salariés.
Un autre moyen de renouveler la dynamique entrepreneuriale est d’introduire plus de cours sur l’entreprise en lycées généraux, technologiques et professionnels. En effet, dans les programmes de SES, Les mécanismes de l’économie de l’état sont trop favorisés par rapport aux mécanismes de l’économie des entreprises : L’école n’est pas destinée à former que des énarques … et même les énarques ont besoin de connaître les mécanismes de l’entreprise !
REDISTRIBUTION DES BENEFICES AUX SALARIES
Mr. Hamon, augmenter le Smic et verser une forte redistribution aux salariés, 33% des bénéfices, n’a rien à voir. Il s’agit bien de trouver le moyen d’augmenter le pouvoir d’achat, mais forcément dans les entreprises qui le peuvent, qui ne vont pas faire faillite, ou délocaliser, pour cause de charges fixes trop élevées. La redistribution sur bénéfice s’analyse pour les chefs d’entreprise comme une charge variable, qui disparaît en cas de problème de l’entreprise. D’autre part, lier à part égale l’intérêt des propriétaires actionnaires (33%), des managers (33% de réinvestissement en autofinancement pour développer l’entreprise), des salariés (33% si ils ont collectivement bien réussi), permet de s’assurer par la loi de la motivation et de la cohérence de tout ce petit monde, qui a chacun a priori sa logique propre et divergente, et cela dans leur intérêt commun bien compris !
Autre gagnant, l’Etat : 1° Maintien de la cohésion sociale, 2° Croissance de l’actif des entreprises, favorable pour l’avenir, 3° Maintien de l’emploi, donc moins de charges sociales à redistribuer, 4° Niveau de l’impôt sur les bénéfices assuré par un secteur privé en bonne santé.
CONDITIONALITE DES AIDES PUBLIQUES AUX ENTREPRISES
Il est très important de trouver une manière urgente de redistribuer du pouvoir d’achat aux salariés. Une méthode est de conditionner les aides publiques aux entreprises à l’ouverture de négociation salariales, avec un délai de conclusion maximum de 3 mois. En cas de non satisfaction des organisations syndicales et/ou de la majorité des salariés, les aides non versées seraient redistribuées par l’Etat dans des mesures sociales en faveur des habitants les moins favorisés.
FRANCE TELECOM
Je suggère qu’une commission parlementaire enquête au sujet du mode de management chez les entreprises qui perdent des marchés et qui tuent leurs salariés (France Télécom, Alcatel), et chez celles qui innovent et qui gagnent (Apple, Google). Les parlementaires vérifieront notamment l’hypothèse suivante : Les modes de management gagnants aujourd’hui sont ceux qui insistent sur la coopération au sein des équipes, les perdants sont ceux qui exacerbent la compétition suivant une philosophie revendiquée néo-darwinienne sociale (qui est connue par les historiens et les philosophes comme ayant contribué à la genèse du nazisme en Europe).
La suite logique de cette enquête, c’est de se demander pourquoi il y a tant de petits fachos au sein des cadres intermédiaires et des Directions en France : Ces élites sont sélectionnées au sein des prépas, qui constituent un système à base de frustrations et de brimades, dégoûte les jeunes qui aiment la coopération, et exacerbe les tendances sadiques chez les jeunes prédisposés. On appelle cela l’esprit concours, çà ne s’invente pas ! Enfin, au terme de ce parcours d’enquête, nos élus pourront exiger la suppression des prépas, la fusion des moyens humains et financiers de l’Université et des prépas, sous la direction des Universités.
ENTREPRENARIAT vs IMPOTS
Lors du journal de 13H aujourd'hui vous avez interrogé l'économiste Bernard Maris, que j'apprécie et que je respecte. J'ai lu son antimanuel d'économie volume 1.
Lors de l'interview, vous lui avez demandé si la fiscalité était bien pratiquée en France. Il a répondu qu'elle devrait être plus redistributive. Pourquoi pas, mais c'est très largement insuffisant pour assurer la prospérité aux habitants : Il est nécessaire de faire croître « le gâteau », pour que les parts redistribuées soient plus grosses (et aussi plus justes, d’accord) ; Sinon, on se partage équitablement … la misère !
Ce qu'il faut, c'est développer l'entreprenariat privé (cours aux élèves de lycée et d'université, favoriser les stages, l’alternance, le guichet unique pour les créations d'entreprise, un guichet/conseiller du service public unique pour les activités régulières de gestion : Ursaf, unedic, retraites, cpam, multiples impôts ; banque des PME et TPE type OSEO + assurance-crédit-investissement par un organisme public du même type qu'OSEO, c'est à dire à la BANQUE publique des PME ajouter la fonction ASSURANCE, l’e-administration, un dispositif de faillite personnelle de l’entrepreneur inspiré des USA : Une fois le patrimoine personnel de l’entrepreneur failli saisi, il repart dans la vie avec une somme minimale, de plus il n’est plus redevable sur ses gains futurs de la partie non épongée de sa dette de faillite, mais à condition que l’entrepreneur ait été honnête et de bonne foi, sinon c’est le tribunal !).
Pour moi, ce n'est pas les entreprises qui doivent aller vers l'administration, mais l'administration qui doit s'évertuer à faciliter la vie des entrepreneurs, qui ne peuvent pas être à la fois spécialistes d'une profession technique, parfois après de longues études, et de surcroît des connaisseurs des diverses administrations françaises ! C'est très difficile au quotidien ... La contrepartie des efforts de lisibilité de l'état, c'est bien sûr le paiement de l'impôt sur les sociétés et autres.
EDF
Historiquement, dès qu'elles ont été fortes les entreprises françaises ont cédé au mirage américain, elles ont voulu jouer dans ce qu'elles appellent la "cour des grands", les Etats-Unis : Renault, Peugeot, Vivendi, Alcatel, etc. Qu'est il arrivé ?
La déroute ! Il faut croire que les américains sont plus chauvins qu'ils ne veulent bien le dire, et que des barrières invisibles sont à l'œuvre : système juridique, financement public (dans les grands systèmes ex: Boeing vs. EADS), réseaux ?, etc.
Gare au réveil pour les assimilés fonctionnaires de l'état français !
EDF
Il y a relativement peu de coupures d’électricité : 10H … par an en moyenne ! , à part sur le point noir en Lozère 35H / an, où il faut travailler.
Il serait peu judicieux de dimensionner la maintenance d’EDF de manière à avoir zéro défaillance comme objectif, car cela augmenterait démesurément les coûts de maintenance, ce qui serait forcément répercuté dans les factures aux clients finaux …
TIMBRES POSTE
On pourrait faire retomber le niveau de stress des salariés, et diminuer les coûts d’acheminement du courrier, en proposant 3 tarifs dégressifs, correspondant à 3 niveaux de délais garantis : un timbre 24H cher, un timbre 48H normal, un timbre 72H bon marché.
CANAL+
Bonjour Mr Canal+
Puis-je trouver sur votre bouquet TV les chaînes thématiques suivantes :
- Une chaîne bricolage / construction professionnelle / architecture intérieure et extérieure (l’éducation des mains est très importante dans la vie d’un homme)
- Une chaîne jardinage / plantes / pharmacopées / médecines
- Une chaîne mode / maquillage / parfums / montres / sacs / bijoux / coiffures / chaussures / vaisselle / shopping / peinture / photos / antiquaires / arts / artisanats
- Une chaîne Musiques (classique / monde / rock / pop / jazz / etc.) + danses (classique / contemporaine / « disco » / « retro » / monde / etc.)
- Une chaine danses (classique / contemporaine / « disco » / « retro » / monde / etc.)
Si ces chaînes n’existent pas, pourquoi ne pas les créer ?
NOTICES APPAREIL ELECTRONIQUE
Je viens d’acquérir un appareil photo IXUS 120 IS. Cela m’a pris plusieurs jours à me décider de l’utiliser parce que j’anticipais une mise en route laborieuse, comme avec tous les appareils électronique grand public disponibles aujourd’hui.
Effectivement, j’ai mis plus de 2h00 avant d’arriver à utiliser le zoom sur ce compact. Je précise que je suis ingénieur électronique+informatique+télécom, et que je surfe tous les jours 3h00 sur Internet.
Pourquoi ? J’ai ouvert la notice, bien en français, et avec une lecture active j’ai cherché le mot ZOOM, fonction indispensable sur un appareil photo ! J’ai balayé une première fois les 34 pages de la notice. Pas de mot ZOOM repérable … J’ai cherché ensuite la table des matières, que j’ai fini par trouver … en page 7 (!), après un déluge d’avertissements quasi-inutiles avec la technologie d’aujourd’hui, comme si vous ne saviez pas que 99,9% des consommateurs ne vous feront jamais un procès coûteux, contrairement peut-être à la culture USA qu’il ne s’agit pas de propager dans le domaine du droit ☺. La galère ne s’arrête pas là : Il n’y a pas de mention ZOOM dans la table des matières. Il faut comprendre à la relecture que il faut aller chercher « prise de photo » en page 18. Une fois arrivé en page 18, toujours pas le mot ZOOM attendu : il faut fouiller pour trouver ce mot noyé dans le corps de texte en minuscule … au 3° paragraphe en bas de la page intitulé « Composez la vue ». Avouez qu’au niveau ergonomie, pour faire pire, il faut vraiment le faire exprès … ou bien ne jamais tester son ergonomie auprès d’un panel représentatif de la population où l’on veut vendre son produit, pas auprès des Bac+2 ou Bac+5 de sa propre entreprise ! Bien, une fois trouvée dans la notice, l’explication est limpide.
Pour être positif, je vais vous faire mes propres suggestions :
1) Des notices luxueuses format A4 avec des photos, des informations hiérarchisées, un démarrage rapide et un approfondissement.
2) Un DVD vidéo présentant l’utilisation de chaque bouton, et la réalisation de chaque fonction.
3) Les 2 à la fois, çà ne devrait pas vous coûter trop cher, et çà peut rapporter gros en facilitant le renouvellement des achats ☺
CONSTRUIRE DES RELAIS MULTISERVICES DANS LES PETITES COMMUNES
Je n’arrive pas à comprendre pourquoi une grande enseigne/franchise de distribution ne se constitue pas dans les petites communes rurales et montagnardes. Business plan :
- Fonctionnement 7j/7, 24h/24. Personnel : rotations de couples.
- Services commerciaux : épicerie, boulangerie, 1 poste essence (essence, fioul, gazole), cyber-café (internet, e-mail, word, excel) avec des Ordissimo (simples d’utilisation), etc.
- Services administratifs : relais postal (colis, lettres, recommandés, timbres), quelques services communaux d’urgence et de proximité, quelques services administratifs (remplir des formulaires), etc.
- Prix élevés dus à la qualité des services rendus, et à l’intérêt de les rendre à proximité.
- Soulte de la part des administrations dont le magasin assure quelques services de base
Il faut absolument trouver une solution commerciale, capitalistique, qui relaye les efforts de l’état afin d’éviter la désertification des campagnes (maisons médicales, maisons des administrations, etc.)
EAU : EXPLOITATION PRIVEE CONTROLEE PAR UNE REGIE LOCALE PUBLIQUE
Il est clair qu’exploiter un service collectif d’eau potable et d’eaux usées nécessite des investissements en infrastructure, et des capacités techniques de supervision et d’entretien. Au jour d’aujourd’hui, les grandes entreprises privées d’eau sont les plus capables techniquement d’élaborer, de construire et de piloter, d’entretenir des infrastructures, car elles mutualisent entre de nombreuses villes leur recherche et développement et leur expertise accumulée, le niveau de leurs ouvriers, techniciens et ingénieurs.
Cela étant posé, il ne faut pas oublier que qui dit privé dit profit et souvent abus. Il faut donc maintenir en régie municipale quelques ingénieurs ou techniciens capables de vérifier les propositions d’infrastructures, et le niveau de service rendu. Il faut également des experts-comptables qui travaillent au profit de la régie municipale pour vérifier qu’il n’y a pas d’abus dans le contrat initial, et pas de dérive dans le temps. Mais il ne faut pas nier non plus les profits : on peut imaginer prendre comme référence initiale du contrat la moyenne du coût du mètre cube depuis 10 ans, et partager à 50% - 50% entre l’opérateur privé et la municipalité les économies d’exploitation liées à la privatisation. Les infrastructures sont financées initialement par l’opérateur privé, et remboursées dans le coût de l’eau par les consommateurs privés, avec un taux d’intérêt du marché, non usuraire.
Ainsi le deal est le suivant : la municipalité est dégagée du soucis de gestion de l’eau au quotidien, elle n’a pas besoin de développer des compétences techniques lourdes ; la grande entreprise privée apporte son expertise, est rémunérée pour cela, tout en acceptant un contrôle financier et technique de la municipalité pour éviter des abus.
ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL
Pour motiver les salariés, il est préférable de les payer double les Dimanche et triple les jours fériés autorisés par la loi du travail.
Une alternative plus radicale, pour laquelle je milite depuis longtemps, est l’organisation de la semaine en 2 équipes, une Lundi-Mardi-Mercredi-Jeudi, l’autre Vendredi-Samedi-Dimanche, avec des temps de travail, des horaires et des salaires à contractualiser avec chacune des 2 équipes. Par exemple, l’équipe VSD, si elle est financièrement avantageuse, attirera des jeunes sans enfants à garder les fins de semaines, des étudiants en cours de jour LuMaMeJeu, les seniors peu observant des rites religieux (nous sommes dans un pays laïque). Ainsi réorganisée l’économie tournerait plus régulièrement, les titulaires de travail du VSD servant les LuMaMeJeu, et réciproquement, les titulaires d’emploi LuMaMeJeu servant les VSDs. Tout cela pour le plus grand bonheur de la croissance du PIB, des profits, des impôts, et la baisse du chômage !
MOTS CLES POUR UNE INDUSTRIE EUROPEENNE PERFORMANTE
- Innovation (pour aller plus loin que ses concurrents)
- Design (Mode, architecture, artisanat d’art, couplée aux objets industriels : le beau confère une valeur ajoutée qui distingue des concurrents)
- Simplicité (de prise en main, de réparation et d’entretien, d’utilisation au quotidien, de compatibilité avec les autres équipements électroniques, de changement pour un autre produit ultérieur, de recyclage antipollution)
- Ecologie (économie d’énergie, recyclage, préservation des ressources non renouvelables, non polluant)
- Robustesse, rusticité (on voit beaucoup trop de produits mis sur le marché qui ne fonctionnent pas correctement dans les conditions normales d’utilisation, ou en conditions durcies, de stress climatique par exemple)
- Haut de gamme (le combat sur les coûts de production est perdu d’avance vis-à-vis des pays émergeants ; il faut se concentrer sur des produits en avance d’une génération, comme aux échecs les bons joueurs ont plusieurs coups d’avance, d’anticipation, sur leurs concurrents)
- Formation de la main d’œuvre (initiale et continue : bon investissement qui motive les troupes, les responsabilise, élargit leur champ de compétence et ouvre les horizons des esprits, ce qui facilite la prise d’initiative et l’identification des opportunités d’affaires)
- Rémunération avec une part fixe qui permet de vivre correctement dans le pays d’accueil, mais surtout une part variable basée sur les bénéfices, et proportionnelle non au salaire de base mais au nombre de salariés (de l’entité ou de l’entreprise globale) : Permet d’une part d’impliquer les salariés dans leur travail, permet d’autre part à l’entreprise d’amortir les chocs de bas de cycle en limitant les charges fixes salariales versées à ce moment là.
OFFRIR LES SERVICES D’UN CABINET D’ARCHITECTURE FORME AUX METHODES D’APPLE ET DE GOOGLE, AUX AEROPORTS FRANÇAIS
Je n’avais pas voyagé depuis longtemps en avion, et je ne m’étais pas rendu compte par moi-même, incognito, à quel point les aéroports Français ressemblaient à mi-chemin entre une crypte et un labyrinthe ! Seuls les initiés, les locaux, les habitués peuvent s’y reconnaître facilement et directement …
Or une qualité des aéroports, outre la propreté (des toilettes notamment), la possibilité de s’y reposer sur des canapés, voire des hotels-box payants pour quelques heures de transit, de s’y restaurer sur quelques gammes de qualité (du fast-food au 1 étoile), d’y faire des emplettes représentatives du pays concerné (ici les habits, les parfums, les cosmétiques, la gastronomie, etc.), il faut également pouvoir s’y repérer ultra-facilement (se mettre dans la peau des étrangers qui ne parlent pas notre langue, parfois ne reconnaissent même pas notre écriture -> mise à disposition de bornes de traduction automatique) et hyper-rapidement (cas des changements pressés) ; je propose entre autre des marquages au sol avec code des couleurs, un rangement par ordre alphabétique des compagnies d’aviation, s’assurer que des pancartes au plafond sont visibles partout, sur un parcours continu.
Enfin, il ne faudra pas oublier de se faire prêter, ou de louer raisonnablement des œuvres d’art aux musées nationaux ; de renouveler régulièrement les collections, bref d’en faire un lieu d’exposition raisonnable, en partenariat avec les musées. On prendra soin de renouveler régulièrement les peintures murales (fresques, textures, motifs inspirés de l’art de la rue, ou de la peinture savante). En ce qui concerne le carrelage, il doit être facile d’entretien et robuste ; pour la forme, actuellement la mode est aux grands carreaux, anthracite. Les plafonds devront être hauts si possible, pour éviter l’impression d’enfermement.
Bref, je ne suis pas architecte, mais des bonnes idées, on peut en trouver dans des musées, dans des magazines, auprès de professionnels, il suffit de le vouloir et d’avoir la passion. Que l’on ne me rétorque pas qu’il s’agit d’une question de budget d’investissement, la rentabilité sera vite là lorsque le prestige et la culture nationale auront fait leur retour, dans nos aéroports, comme c’est valable dans toutes nos réalisations industrielles et de services Français !
PROPOSER UN PRET ETUDIANT A TAUX 0%
J’incite toutes les banques à proposer un prêt civique étudiant à taux 0%, sur le thème : « Vous vous impliquez dans vos études ? Nous vous récompensons par un prêt à taux d’intérêt 0% ».
En plus de faire une contribution civique bien méritée à leurs sociétés civiles, les banques peuvent récupérer leur investissement en fidélisant de nouveaux clients.
COLLECTION DE LIVRES TECHNICO-COMMERCIAUX A DESTINATION DES MANAGERS / ENTREPRENEURS
Je souhaite la diffusion de livres technico-commerciaux, à destination des managers et des entrepreneurs, formés ou non à la science et à la technique, afin qu’ils puissent découvrir de nouveaux marchés, en appréhendant les bases de la technique pour pouvoir se faire une idée du potentiel commercial et de la complexité technique, tout en restant dans un niveau scientifique superficiel. Usage typique pour les écoles de commerce.
Exemple : SMARTGRIDS (les réseaux électriques intelligents), EGEM Hermes Lavoisier
CONSEIL D’INVESTISSEMENT DANS LES TPE ET LES ARTISANS
Si vous disposez de petites économies de l’ordre de quelques dizaines de milliers d’euros, pensez à investir dans les TPE (Très Petites Entreprises) et les Artisans de proximité : vous savez pertinemment ceux qui travaillent bien, ces gens là travaillent dur, longtemps ; Pour quelques milliers d’euros d’investissement, ils sont peut être prêts à vous céder des parts de leur entreprise, sans droit de vote, pour pouvoir développer leur affaire en toute indépendance, en contrepartie de quoi, soit vos actions montent, soit vous percevez une part annuelle sur les bénéfices.
En ce qui concerne les start-up = jeunes pousses = nouvelles pousses technologiques, l’investissement peut s’avérer certes très rentable, mais c’est plutôt réservé aux professionnels du secteur technologique en question.
Bref, ne laissez pas dormir votre argent en banque en vous en remettant aveuglément à votre conseiller financier. Un matelas confortable en assurance vie suffit. En ce qui concerne les actions des grandes entreprises où vous seriez largement minoritaires, mieux vaut abandonner, vous n’êtes pas capables en général d’évaluer les stratégies de ces groupes, à fortiori d’influer dessus.
DETECTEURS DE FUMEE
La sécurité domestique est un domaine qui préoccupe les familles.
A l’heure des capteurs électroniques et de la télématique, on peut imaginer de vendre la solution suivante via une société privée de surveillance, reliée à un deuxième niveau aux pompiers et au SAMU (services d’urgence médicale) :
- Pour l’intrusion malhonnête, des alarmes radar et infrarouge, déclenchant des caméras optiques et des robots
- Pour les malaises médicaux, des capteurs de mouvement anormaux (traitement de l’image)
- Pour les incendies et les fumées, des capteurs de fumée intelligents (analysant la qualité des particules dégagées, la quantité, l’augmentation du flux, l’heure de la journée, la présence des individus, etc.) reliés par Wi-Fi à l’alarme intérieure qui communique à l’entreprise privée, ou par carte GSM directement aux pompiers
- Pour la prévention des noyades dans les piscines, un sonar de piscine, qui déclenche une alarme sonore etdes caméras immergées, relié idem par GSM aux pompiers/SAMU et/ou à l’entreprise privée de télésurveillance et sur tous les téléphones de la famille.
- Pour les accidents de voiture, déclanchement simultané à l’Airbag, du traceur GPS qui envoie par GSM les coordonnées aux pompiers, couplé à des appareils photos/caméras externes et internes pour évaluation de la situation.
- Pour les accidents d’avion de tourisme, de bateaux et de rail, un traceur GPS+GSM.
MAGASINS DE BRICOLAGE
Pour élargir l’audience des magasins de bricolage, donc le Chiffre d’Affaire et les profits, ce que je propose, c’est d’étendre verticalement l’offre :
- vente d’outils et de produits, classés en 3 gammes (bon marché, meilleur rapport qualité prix, qualité supérieure), catégories identifiées par un système de pastilles de couleur
- formation à l’utilisation des outils
- mise en relation avec des cabinets d’architectes
- vente de magasines et de livres de décoration et d’architecture, d’intérieur, d’extérieur, de jardin
- mise en relation avec des artisans entrepreneurs, certifiés par le magasin local, en fonction du niveau de gamme de prestation (et donc de coût) souhaité par le client
- partenariat avec les magasins de meubles de la zone géographique (classification des magasins en fonction de critères rustique/moderne + gamme de prix voir ci-dessus), pour la réparation des meubles par exemple.
- Plus de services encore à inventer !
RECETTES DE CUISINE
Un éditeur aurait-il la bonne idée de publier une collection de recettes par niveaux (débutant, facile, intermédiaire, expert), un livret pour chaque recette, accompagné d’une vidéo en DVD + internet + CD-Rom (entrainement « serious game »).
Contenu : ingrédients (photos sur pied et dans des marchés, technique de choix du bon produit, prix selon les saisons durant les 3 dernières années, et selon le lieu géographique), préparation filmée et commentée avec des variantes suivant plusieurs chefs, présentation au service et en assiette, bons de réduction promotionnels pour consommation au restaurant, options pour un cours en direct (interactif sur internet, ou en présence physique d’un chef).
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